QUAND JE SERAI GRAND, JE VEUX ÊTRE… VAN GOGH

2 JUILLET 2016 – 19h30
« Quand je serai grand je veux être … Van Gogh »
Écrit et interprété par Yann Le Corre

À partir d’un montage d’après les correspondances entre Vincent Van Gogh, son frère Théo et le peintre et écrivain Emile Bernard

© Sylvain Fournier
© Sylvain Fournier

L’ARTISTE
Formé par « le grenier de Bourgogne » à Dijon et avec une licence théâtrale à l’université de Provence, Yann a complété ces formations par des « master class » et des rencontres aux théâtres nationaux de Dijon Bourgogne et de la Criée à Marseille avec notamment Robert Cantarella, Phillipe Minyana, Benoit Lambert, ou Célie Pauthe. Il a travaillé sur plusieurs spectacles avec les compagnies « La variante » ou « L’Auguste théâtre ». Il a également été mis en scène par Danielle Bré dans le spectacle sur Pablo Picasso en 2009 lors de l’exposition Aixoise qui lui était consacrée.

LA PIÈCE
Un homme veut changer de vie et devenir artiste, mais quel art choisir et comment y parvenir? Très vite, en s’inspirant des lettres que Vincent a écrites à son frère Théo Van Gogh, il va découvrir un chemin, mais voudra-t-il le suivre jusqu’au bout? Cette exploration de la correspondance entre Vincent Van Gogh et son frère cadet nous donnera au passage une leçon d’art pictural, d’engagement artistique total, d’abnégation, de philosophie, de poésie, mais pas de vie… Ces enseignements du peintre le plus cher et le plus pauvre valent de l’or, d’autant plus qu’ils ont été très chèrement payés…

 

LA PRESSE EN PARLE
« Époustouflante prestation de Yann Le Corre […] Une interprétation très physique et particulièrement convaincante a transporté le public dans ce riche parcours ; […] Du beau et grand art » Denis Perrier – La Provence
« Un beau questionnement sur l’art et la vocation d’artiste […] un spectacle dense, vif et très intense à découvrir absolument » Isabelle Masson – La Provence
« Yann Le Corre propose une plongée vertigineuse dans le quotidien tourmenté du peintre hollandais […] Van Gogh est-il destiné à n’être qu’un oiseau en cage, interroge habilement la pièce » Sylvain Fournier – La Marseillaise